Mon histoire

Je suis un fesseur que l’on peut qualifier d’expérimenté. Je viens d’avoir 67 ans et cela fait de nombreuses années que j’administre des fessées à des mecs.

​J’ai commencé très tôt, bien avant mes 18 ans, à rougir les fesses de mes compagnons de jeu. Puis vers 21 ans, en arrivant à Paris, j’ai découvert par un magnifique magazine de l’époque (Gay pied) que je n’étais pas le seul à vouloir claquer de jolies fesses.

​Pourtant jusque-là, je n’avais jamais reçu de fessée. Je voulus donc découvrir cette sensation que je donnais avec plaisir à mes amis.

Voyant l’annonce d’un monsieur âgé cherchant à corriger « des méchants garçons » je me décidai à devenir celui-ci avec ce monsieur.

Après un courrier (à cette époque il n’y avait ni Internet, ni même le fameux Minitel) positif de sa part, et un coup de téléphone pour le rendez-vous, je me retrouvai devant sa porte peu fier de moi, mais très excité.

Je me suis très vite retrouvé en travers de ses genoux pour la première fessée de ma vie.

​Devinant à sa porte un timide novice, il me prit rapidement par le bras, pour me coucher en travers de ses genoux tout en me grondant. Sans cette action rapide qui m’empêchait de trop réfléchir, sans doute serais-je reparti en courant avec des regrets plein la tête.

Enfin ce que j’enviai à mes amis avec leur parent se réalisait. Je recevais une fessée ! et une vraie fessée sans concession. Mon fesseur joua avec talent, sur mes fesses encore protégées, son rôle de papa en colère. Les premières claques me firent déjà mal mais me disant que dans le cadre d’une vraie fessée ce n’était pas à moi de décider de la fin de cette punition. Puis il me fit descendre le pantalon et c’est un peu honteux que je repris la position sur ses genoux. Puis après quelques minutes, sans prévenir, mon slip se retrouva très vite sur mes mollets. La fraicheur sur ma chaude peau de cette action ne resta pas longtemps. Un petit déluge de claques furent distribuées sans concession sur mes fesses. Je gesticulai, essayant de mettre mes mains au risque de la menace de mon « papa » d’un martinet posé sur la table devant moi à proximité de mon regard.

​La fessée terminée, avec un peu de larmes, il me consola avec un jus d’orange.

​Je repartais avec les fesses rouges bien chaudes et le métro de l’époque permettait avec les siège plus dur que maintenant de se souvenir de ce style de rendez-vous. J’étais heureux à la fois d’avoir reçu cette première fessée et en même temps en pensant que c’était mieux de la donner.

​Pourtant une semaine plus tard je me retrouvai devant sa porte en short pour une nouvelle punition où cette fois ci le martinet ne resta pas sur la table.

​Plusieurs fois je me suis retrouvé devant son jus d’orange à être consolé devant le martinet près de mon verre comme compagnon.

Puis ce monsieur quitta Paris pour sa province.

​Je continuais cependant à recevoir des fessées, et à en donner. Je goutais des instruments que je donnais pour comprendre le plaisir de mes fessés à les recevoir.

​Beaucoup de fesses ont reçu mes mains entre mes 21 ans (en fait 10 ans) et ce jour à Paris, puis en région parisienne.

Durant ce temps, j’ai fondé avec deux amis un club, et des films dans une production de vidéo.


​Aujourd’hui à la retraite, je continue à m’amuser à donner des fessées de plus en plus dans le cadre dit scolaire ou oncle sévère. J’aime aussi beaucoup faire découvrir ce plaisir.

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